The most comprehensive volume yet published on the work and legacy of the "forgotten star of Pop art," with previously unpublished materials and new scholarly explorations
Hbk, 8 x 11.5 in. / 272 pgs / 275 color. | 11/7/2023 | In stock $75.00
Published by DelMonico Books/Buffalo AKG Art Museum/Musée des beaux-arts de Montréal. Edited with introduction by Cathleen Chaffee. Foreword by Janne Sirén. Text by Anna Katherine Brodbeck, Estrellita Brodsky, Alex Da Corte, Mary-Dailey Desmarais, Jessica Hong, Delia Solomons, Julia Vázquez. Contributions by Jason Hose.
L’ouvrage le plus complet publié à ce jour sur l’œuvre et l’héritage de la « star oubliée du pop art », enrichi de documents et de travaux de recherche inédits.
Au milieu des années 1960, Marisol est considérée comme la femme artiste de sa génération ; elle est proclamée « la seule artiste féminine glamour » pour son sens de la mode et « la Garbo latine » pour son apparence exotique, sa beauté légendaire et son célèbre mutisme. Dès le début de sa carrière, des foules se massent pour admirer ses extraordinaires sculptures pop grandeur nature, et sa renommée éclipse presque ses remarquables réalisations. Cet intérêt faiblit toutefois à la fin des années 1960 lorsqu’elle se retire temporairement du monde de l’art, puis réoriente sa pratique artistique. En 2016, son avis de décès publié dans le Guardian la présente comme la « star oubliée du pop art ».
Ce catalogue, l’ouvrage le plus exhaustif sur l’œuvre de Marisol qui a été produit à ce jour, accompagne une importante rétrospective itinérante organisée par le Buffalo AKG Art Museum (auparavant l’Albright-Knox Art Gallery), qui couvre l’ensemble d’une carrière riche et avant-gardiste s’étalant sur près de 60 ans. Les sculptures et autoportraits satiriques – et en apparence politiques – qui ont marqué les années 1960 sont à l’honneur dans le catalogue, mais les textes se penchent aussi sur les œuvres qui incarnent l’intelligence animale et font référence à la précarité de l’environnement, évoquent la violence interpersonnelle, traitent de réalités immigrantes, représentent la privation des droits à l’ère postcoloniale, et bouleversent les normes sexuelles et le binarisme de genre. Les sculptures publiques et les collaborations avec des chorégraphes y sont abordées pour la première fois. Les analyses d’éminents spécialistes confirment le legs fondamental de Marisol au XXIe siècle. À ces fascinantes réflexions s’ajoutent des reproductions couleur de ses œuvres, une bibliographie fournie, une liste de ses expositions et une chronologie illustrée.
Marisol (1930-2016) est née à Paris de parents vénézuéliens sous le nom de María Sol Escobar. Elle dessine sans cesse et adopte le surnom Marisol dès son jeune âge. À l’instar de nombre d’artistes qui ont percé au début des années 1950, elle est fortement influencée par l’expressionnisme abstrait, mais elle commence à sculpter en 1954 après avoir découvert l’art précolombien au Mexique et à New York, privilégiant rapidement les figures totémiques qui feront sa renommée.
Published by DelMonico Books/Buffalo AKG Art Museum. Edited with introduction by Cathleen Chaffee. Foreword by Janne Sirén. Text by Anna Katherine Brodbeck, Estrellita Brodsky, Alex Da Corte, Mary-Dailey Desmarais, Jessica S. Hong, Delia Solomons, Julia Vázquez. Contributions by Jason Hose.
In the mid-1960s Marisol was lauded as the female artist of her generation and was proclaimed to be "the only girl artist with glamour" for her fashion sense and "the Latin Garbo" for her apparent exoticism, legendary beauty and famed silences. Thousands lined up to see her remarkable life-size Pop art sculptures early in her career, and her celebrity nearly overshadowed her formidable accomplishments. But this attention would fade following her temporary retreat from the art world in the late 1960s and a shift in her work's subject matter. Her 2016 obituary in the Guardian described her as "the forgotten star of Pop art." This catalog, the most comprehensive on Marisol’s work ever assembled, accompanies a major traveling retrospective organized by the Buffalo AKG Art Museum (formerly the Albright-Knox Art Gallery) that reckons with the entirety of her pioneering, multifaceted, 60-year career. While celebrating her satirical and deceptively political sculptures and self-portraits that helped define the 1960s, the book’s essays also examine her works that embody animal intelligence and allude to environmental precarity, testify to interpersonal violence, engage with the immigrant experience, figure postcolonial disenfranchisement and destabilize sexual norms and gender binaries. Her public sculptures and collaborations with choreographers are examined for the first time. Assessments by leading scholars affirm Marisol’s radical legacy for the 21st century. These exciting reflections are presented alongside full-color reproductions of her works, a robust bibliography, an exhibition history and an illustrated chronology. Marisol (1930–2016) was born Maria Sol Escobar in Paris to a Venezuelan family. She drew continually and from a young age adopted the name Marisol. Like many of the artists who emerged in the early 1950s, Marisol was at first influenced by Abstract Expressionism, but after seeing pre-Columbian art in Mexico and New York, she began making sculpture in 1954, and soon began focusing on the totemic figures for which she is best known.